dimanche 27 octobre 2013

Un singe en hiver film de Henri Verneuil (1962)


Mais qu’est-ce qu’il te prend à dire « Yep » comme ça ?


Ode à l'ivresse, aux promesses et à l'amitié    
Des sensations qu’ils pensaient perdues à jamais
Malgré l'inquiétude de celles qui les aiment
Ils se laissent aller à manger des nems

Deux histoires où deux voyages s’entrecroisent
Deux hommes émerveillés par différents paysages
L'un l'Asie berceau du Yang Tsé Yang le célèbre fleuve
L'autre l'Hispanie théâtre où toréadors se meuvent

Les générations sont alors mélangées
Pour matérialiser les phantasmes songés
Le vieil homme rajeuni par le bourbon
Et le jeune homme vieilli par la boisson

Feux et lumières se déchainent en cette nuit troublée
Deux ivrognes prennent l'air pour mieux s'imaginer
L'un cause marine l'autre spectacle madrilain
Mais ils se rejoignent sur le même point

Et c'est durant cette fête emplie de gaieté
Où nos deux amis sans jamais se lasser
Ont embrigadé un troisième tout aussi enchanté
De mettre fin enfin à cette morosité

Hélas ce théâtre prend fin au matin
Quand la réalité ne passe plus son chemin
Les obligations reprennent leurs droits
C'est l'heure des adieux dignes des plus grands rois

C’est vers le printemps que père et fille se déplacèrent
Alors que le vieil homme entra dans un long hiver

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